love ( comme ses autres consoeurs)

Dimanche, MacInerley; lundi, alice et son jardin secret; mardi, sex in the city; mercredi, sorties.
C'est dans une semaine très trentenaire à la recherche du grand amour que j'ai remis les pieds dans cet antre sombre qu'on appelle comunément "cinema" pour aller voir "love(et ses autres deboires) avec de " fabuleux" acteurs tels que B. Murphy.
Dés l'annonce du titre, mon comparse rougit, s'essoufle, titube, s'en est dejà trop! Oui c'est une comédie romantique dans la lignée des coups de foudre et autres diamands. Cela tombe très bien car ce sont justement deux références phares du film.
Assistante à Vogue, "Jacks" mène à la baguette les hommes tout en revant du grand amour entourée de sa "famille" tout droit sortie d'un livre d'Armistead Maupin revue et corrigée par Disney.
Non-dits, quiproquo, realisations de rêves, fantasmes et petits arangements entre amis, tout est présent dans cette comedie sentimentale britanique " qui ne se passe pas comme dans un film"!
Amateurs de contes fleur bleus décalés, à vos ciné!

Ben franchement, lorsque le titre est apparu je me suis attendu au pire, et finalement ben ça allait! Certes rien de transcendant, j'ai trouvé les acteurs sans charisme, l'histoire vraiment too-much, et les perpétuels "comme dans un film" vraiment lourd! Les personnages ont beau dire ça, c'est tout de même un film alors, je trouve que la mise en abyme était un peu bof quoi! Le film dans le film genre quoi!

Oui mais .... Paolo était .... ah!!! non?

Toujours est-il que trop de quiproquo tue le quiproquo!