Bon, si j’écris ici aujourd’hui, c’est parce qu’il fallait bien que quelqu’un le fasse ! Je vient de finir Le Château (de Franz Kafka, donc) et je l’ai trouvé nul ! Et oui, pour une fois j’écris dans le forum de littérature pour dire qu’un truc est nul ! Parce que c’est pas comme si j’avais lu que ce cher roman… non non… j’ai aussi lu je ne sais pas combien de nouvelles de lui. Jusqu’à lire un bout de texte qu’on a trouvé chez lui et qu’on sait pas d’où ça vient ni où ça va (voyez la logique des profs) et qui s’appelle : Un Commentaire (super le titre ! super l’histoire -ironie-). Et bref, j’en ai eu marre de K. (le personnage, pas Kafka, quoi que…) et j’ai voulu m’exprimer ici en espérant que d’autres me suivront, ou peut-être (qui sait ?) me donneront une autre appréciation des œuvres de l’auteur Tchèque (et non, Prague ce n’est pas l’Allemagne !).
Mais vous voulez peut-être que je vous raconte l’histoire du Château… Bah ça va être vite fait : y a pas d’histoire, pas d’intrigue, rien ! Il est juste question d’un gars arpenteur, K., qui arrive dans un village parce qu’on lui a demandé de venir. Mais finalement on lui dit que non et qu’il doit partir. Entre temps, Monsieur K. est tombé amoureux de Frieda (une femme de chambre) et souhaite rester au village. Pour cela, il doit trouver un boulot, mais espère toujours travailler pour le château. Cela n’arrivera jamais, Frieda le quittera et ça finira en queue de poisson : genre tu te demande s’il ne manque pas des pages à la fin. Bref, un bouquin sans queue ni tête !
Si vous l’avez lu, je vous en prie, faites vos commentaires. Sinon, vous pouvez toujours parler de votre « rencontre » avec Kafka ! Mais je ne me fais pas trop d’illusions sur ce que vous direz ici, vu la Mort qui règne dans ce forum…
Juste à titre indicatif : si vous souhaitez des infos sur la vie de Kafka, je peux vous en donner, même sous la forme de cours si vous voulez ! Aujourd’hui je dirai simplement ceci : Franz Kafka fut l’un des auteurs dont les œuvres ont été brûlées par les nazis, puisqu’elle étaient décadentes et surtout, parce que Kafka était juif.